D'après la police, un quart des 350 manifestants avaient le visage dissimulé derrière des écharpes et étaient "déterminés à casser". Une dizaine de voitures ont été détruites, les forces de l'ordre et un bus en circulation ont été caillassés et du mobilier urbain a été dégradé.
Huit plaintes pour dégradations ont déjà été déposées. La Compagnie des transports du pays de Montbéliard (CTPM), gestionnaire du réseau de bus, devrait également déposer plainte.