"S'il y avait un homme d'Etat entre les deux, c'était François Hollande. Il y avait comme un air de passation de pouvoir", a estimé le directeur de campagne du candidat socialiste sur RFI.
"François Hollande correspond à ce moment de la France où, après cinq ans de bruit et de fureur, de tumultes, de divisions, on a besoin de quelqu'un qui donne un cap, qui rassure, qui rassemble et hier François Hollande l'a réussi", a-t-il commenté, en se voulant toutefois encore "prudent" avant le scrutin. "L'élection n'est pas faite", a-t-il dit.
Nicolas Sarkozy "jouait sur des peurs" et François Hollande "voulait inspirer confiance", a conclu le député du Doubs.
(source : AFP)