Narumi : les analyses des “tâches rouges” sur le campus de Besançon ne sont pas probantes

Les tâches « supposées » de sang retrouvées à l’arrière du bâtiment Théodore-Rousseau où logeait l’étudiant japonaise sur le campus de Besançon ne correspondent pas à l’ADN de Narumi ni à celui du jeune chilien.  

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Questionnée sur la présence de gouttes de sang retrouvées à l'arrière du bâtiment, la procureure a précisé que les résultats n'avaient rien pu donner. "Nous venons de recevoir les analyses et les enquêteurs n'ont pas pu récolter assez de matière sur cette très petite tâche rouge. On ne sait pas si c'est du sang, mais ce qui est sûr c'est qu'il ne correspond ni à l'ADN de Narumi ni à celui du suspect…",  a indiqué Edwige-Roux Morizot lors de la conférence de presse donnée en fin de journée ce lundi 6 février 2017 au palais de justice de Besançon.

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