Oreegines : longboard, culture urbaine et prêt-à-porter…

Ça faisait longtemps que Maxence Bres, 28 ans, avait envie de créer son propre magasin et depuis le 12 décembre 2014, son souhait est exaucé avec Oreegines, au 8 rue d’Anvers, au centre-ville de Besançon. Ce magasin de 92 m2 propose des vêtements pour homme et femme, des sprays de couleurs, des marqueurs et surtout, des longboards… 

©

"Au départ, je voulais concrétiser ce projet à Royan, mais j'étais trop jeune, je voulais ensuite le faire à Poitiers, mais je n'étais pas assez prêt" nous raconte Maxence, né à Vannes (Morbihan). "Plus tard, j'ai été responsable de magasin en Nouvelle-Calédonie et j'adorais vendre. Depuis mon arrivée à Besançon en 2010, j'ai toujours dit que je voulais faire un magasin ici et ça a pris 4 ans"

"On sait que le travail français, c'est vraiment de la bonne qualité" 

Ce jeune commerçant propose des vêtements pour homme et femme de marques françaises et d'ailleurs, des accessoires, des sprays de peinture et des marqueurs "à utiliser uniquement sur des murs Lego !" précise-t-il. Sans oublier des planches seules ou montées sur roulettes de longboards fabriqués en France et des mini skateboards très à la mode urbaine. "Au niveau du matériel technique, on sait que le travail français, c'est vraiment de la bonne qualité" explique Maxence. En plus, "Il y en a pour toutes les bourses !"

Bientôt, des chaussures de marques françaises feront leur place dans les rayons d'Oreegines ainsi qu'un rayon destiné aux enfants. 

Plus qu'un magasin, une passion ! 

Ce jeune commerçant ne s'est pas lancé dans la vente de longboards et de produits liés à la culture urbaine par hasard. C'est un passionné ! Il a créé, avec une bande d'amis, l'association bisontine le Merkuro Crew en 2011 qui organise de nombreux événements à Besançon et dans le Grand Besançon plusieurs fois par an (balades en skateboard, longboard, roller, trottinette, etc. ouvertes à tous et des freerides, notamment à Marchaux). 

Pourquoi "Oreegines" ?

"Tout simplement parce qu'il faut être fier de ses origines" nous explique Maxence. Et les deux E font référence au mot anglais "wheel" qui signifie "roulette". 

Infos pratiques

Quitter la version mobile