Pas de sursis pour l’escadron de gendarmerie mobile de Besançon

Contrairement à l’escadron de Ferrette dans le Haut-Rhin, celui de la capitale comtoise est définitivement condamné. La décision a notamment été annoncée ce vendredi par le préfet aux députés UMP Branget et Grosperrin.

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Jean-Louis Fousseret « regrette cette décision » car « chacun sait l’attachement que la Ville de Besançon porte à la présence des différents corps d’armée qui sont parties intégrantes de notre cité ».  
 
« Pourtant, j’avais saisi par courrier et de façon immédiate le ministre de l’Intérieur et nos députés Madame Branget et Monsieur Grosperrin et je suis choqué de voir qu’aujourd’hui les élus en sont réduits à acter des décisions qui leurs échappent », relève le maire de Besançon dans un communiqué.
 
« Il faut que le gouvernement arrête de mépriser les élus et les personnels concernés. Il faut que soient respectés avant tout ceux qui sont des élus de la République représentant les intérêts de la population et de leur collectivité », poursuit-il.
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