Il a pris la parole lors d'une séance publique à l'Assemblée le 26 novembre. Eric Alauzet a rappelé que le plan d’investissement lancé en 2010 n'avait relancé "que temporairement" l’activité et avait "considérablement creusé les déficits."
"Trop de projets s’avèrent beaucoup plus coûteux que prévus et entraînent pour les décennies qui suivent des dépenses deux à cinq fois plus élevées que la dépense initiale", a t-il fait remarquer en faisant notamment référence à la LGV Rhin-Rhône, qui "connaît un trafic de voyageur et une rentabilité très inférieure aux prévisions."
Le député du Doubs souhaiterait ainsi "des millions de petits projets de travaux dans les logements et les bâtiments" autour de la transition énergétique soient privilégiés. En lieu et place "de grands projets à l’utilité contestable et aux coûts de fonctionnement futurs élevés".