Onze installations dégradées en un peu plus d’une nuit. Besançon vit dans la crainte d’un nouveau gang anti-pub. En 2010, 400 dégradations avaient été recensées et Decaux avait avoué avoir perdu de l’argent dans la capitale comtoise cette année là. Si le phénomène s’est estompé en 2011 avec une centaine de dégradations, l’année 2012 commence bien mal…
Rappel des faits en 2010 dans l'artcle du Parisien ci-dessous...