900 étudiants engagés dans des actions pour la santé en Franche-Comté

Piloté par l’ARS Bourgogne Franche-Comté, l’Université de Franche-Comté et le Rectorat de Besançon, le service sanitaire des étudiants en santé vise à former les futurs professionnels de santé aux enjeux de la prévention primaire. Cette année 2019, ce sont près de 900 étudiants en santé qui interviennent auprès de la population franc-comtoise pour promouvoir les comportements favorables à la santé.

© dr Rectorat ©

Mis en place à la rentrée universitaire 2018/2019, le service sanitaire des étudiants en santé s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de santé. Il prend la forme d’interventions de prévention visant à promouvoir les comportements favorables à la santé auprès de publics identifiés comme prioritaires : en établissements scolaires et d’enseignement supérieur, entreprises, lieux de privation de liberté, établissements pour personnes âgées, etc.

Des interventions sur quatre thématiques

Quatre thématiques ont été retenues en lien avec les priorités de la politique régionale de santé menée par l’ARS et les structures d’accueil : conduites addictives, nutrition et activité physique, vaccinations, hygiène corporelle. Tous les étudiants reçoivent une même formation en prévention et promotion de la santé avant d’intervenir auprès de différents publics.

Le service sanitaire représente l’équivalent d’une période de six semaines de formation à temps plein. Inclus dans la maquette de formation, il est obligatoire pour l’obtention de leur diplôme.

Après évaluation de cette première année de mise en application, le dispositif a vocation à être reconduit chaque année auprès de publics considérés comme prioritaires sur des thématiques en cohérence avec les priorités de prévention de la région.

Info +

En Franche-Comté, plus de 200 structures d’accueil ont été identifiées pour la mise en place d’actions de prévention : dans des établissements de l’Education nationale (61 écoles et 53 établissements du second degré), des établissements agricoles et privés, à l’Université au sein du service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé, dans des maisons de santé et au sein d’un service de protection maternelle et infantile (PMI).

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