Cette mobilisation se forme "contre les lois Vidal et Ore. Ces réformes ont pour but de mettre en place une sélection à l’entrée de l’université et de faire du bac, non plus un diplôme d’accès aux études supérieures, mais un passage vers un avenir indéterminé", est-il précisé.
Le taux académique de participation au mouvement de grève de ce jour pour les enseignants du second degré a été de 3,75 % contre 5,49 % au niveau national, annonce le rectorat de Besançon.