Mobilités à Besançon : un apéritif-débat pour en discuter …

EPI (Espace Politique d’Innovation) organise, le 21 mai 2025, un apéritif-débat autour des mobilités dans la ville de Besançon, au foyer Habitat-Jeunes Les Oiseaux, de 18h30 à 20h30. Marie Zehaf, vice-présidente de Grand Besançon Métropole en charge des Transports et des Mobilités, ainsi que Pascal Bérion, enseignant chercheur en aménagement de l’espace à l’Université Marie et Louis Pasteur sont invités. 

Archives © D Poirier

"S’il y a un sujet qui fait polémique et enflamme les esprits à un an des échéances municipales, selon EPI, c’est bien celui de la circulation dans la ville et l’accès à celle-ci; un sujet abordé la plupart du temps du seul point de vue de l’automobiliste".

Chacun de nous étant appelé à se déplacer pour son travail, sa vie familiale ou ses loisirs, ce sujet ne peut se réduire à la seule circulation automobile”, peut-on lire dans le  communiqué d’EPI. “Il est celui des mobilités, des différents modes de déplacements (voitures individuelles, transports en commun, cycles, marche, voire trottinettes...), du partage de l’espace public et des conflits entre les usagers”, est-il ajouté. 

Autour de l'événement 

Se déplacer à Besançon. Entre contraintes et recherches de solutions, est le thème de cet apéritif-débat, lors duquel seront soulevées les question suivantes: 

Pour en débattre, EPI a fait appel à Marie Zehaf, vice-présidente de Grand Besançon Métropole en charge des Transports et des Mobilités, et à Pascal Bérion, enseignant chercheur en aménagement de l’espace à l’Université Marie et Louis Pasteur.

“Hormis pour la place Leclerc”

EPI ajoute que “les services de Grand Besançon Métropole viennent de mener une étude sur les grandes tendances de circulation observées sur les routes de l’agglomération. Il semble qu’il n’y a pas explosion du nombre de véhicules et que les temps de parcours sont stables (hormis pour la place Leclerc)” .

Si les élus se réjouissent de ces données et évoquent « un décalage entre la réalité et le ressenti », pour autant, ce ressenti des difficultés dans les déplacements du quotidien fait partie de la réalité…”, conclut EPI.

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