Au nom du bar #4 : l’histoire derrière Alors peut-être ?

Cet été, macommune.info a souhaité se pencher sur l'histoire des noms mystérieux, voire énigmatiques de certains bars à Besançon... et il y en a quelques-uns ! Pour le quatrième épisode de cette série, on se penche sur le bar "Alors peut-être ?".

© Salomé Fabre

Alors peut-être ?... en voilà un nom mystérieux. Bien que cette célèbre expression du grand Patrick Montel prononcée lors du 4x400m femmes des championnats d'Europe 2014 soit largement reconnue, attribuer ce nom à un bar n’est pas si simple à expliquer. Pour mieux comprendre, il est nécessaire de plonger dans les origines du projet.

Florent, un des co-gérant, a très vite sauté sur l’occasion quand en début d’année 2024, un de ses amis l’a contacté pour reprendre un bar. Le problème ? Florent n’a aucune expérience et l’établissement que lui et son ami doivent reprendre est en liquidation judiciaire : en bref, un sacré pari.

Au moment de trouver un nom, étant un fan de l’expression mythique de Patrick Montel lors de la folle remontée de Florai Gueï, Florent décide d’y faire un clin d’œil. Et l’expression colle à merveille à la situation dans lequel le bar était à ses débuts.

L’équipe est tout aussi atypique que le bar, puisque le premier associé de Florent a quitté l’aventure cinq mois après le lancement. Il a alors, à son tour, fait appel à deux amis d’enfance, Stéphane Flacoz et Clément Gaillars. Ils sont donc tous les trois gérants de ce bar qu’ils décrivent comme "chaleureux et très sympa à venir découvrir". "Alors peut-être ?" a très récemment fêté son premier anniversaire.

Alors peut-être ?

Quitter la version mobile