"Une information de presse laisse entendre que le versement mobilité pourrait être augmenté: ce n'est pas à l'ordre du jour contrairement aux informations relayées. Cette idée pénaliserait dans une période difficile services publics et entreprises", explique-t-elle dans un tweet ce samedi en faisant référence au communiqué de plusieurs instances du Doubs suite à un article l'Est Républicain.
Les instances signataires du communiqué du 7 mai sont : la CCI du Doubs, de Haute-Saône, l’UCB, la chambre des métiers et Artisanat de BFC, la CPME25, l’U2P, l’UMIH25, la FFB du Doubs, CAPEB, GNI et la FH.
"Le Versement Mobilité est, aux yeux des dirigeants, voire des salariés, la taxe de trop qui tue l’emploi et l’investissement au niveau territorial. Il impacte plus de 900 entreprises et 35 000 emplois ! Augmenter le Versement Mobilité... serait une grave erreur irréversible pour l’image, la compétitivité et l’attractivité de Grand Besançon Métropole !" s'inquiétaient les instances ce vendredi.
Un débat tué dans l'oeuf si l'on en croit le tweet de la présidente du Grand Besançon Métropole.
Une information de presse laisse entendre que le versement mobilité pourrait être augmenté: ce n'est pas à l'ordre du jour contrairement aux informations relayées. Cette idée pénaliserait dans une période difficile services publics et entreprises.
— Anne Vignot (@Anne_Vignot) May 8, 2021