Besançon va défendre son horlogerie au salon international de Bâle

L’activité horlogère a marqué durablement le territoire de Besançon jusqu’à en faire la capitale historique de l’horlogerie française. « Ce riche passé sera aussi son avenir !», estime Jean-Louis Fousseret qui va présenter le 26 mars au salon mondial de l’horlogerie et de la bijouterie à Bâle (Suisse) ce qu’il considère comme « le renouveau de l’activité horlogère bisontine».

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«Aujourd'hui, le savoir-faire perdure, la main-d’œuvre reste une référence, des manufactures se réveillent, (L.Leroy…), des marques internationales se félicitent encore d’avoir installé ici leur service après-vente (Audemars Piguet, Breitling…), un réseau de sous-traitants appuie les compétences des horlogers locaux (Cheval frères, Reparalux, Sibra…) », souligne un communiqué de la Ville de Besançon qui met en avant « les nouveaux dynamismes de l'horlogerie dans la capitale franc-comtoise:

- La relance du poinçon à tête de vipère : une certification de renom. Les tests de précision effectués sur les montres, très renommés dans le milieu horloger, ont de nouveau cours aujourd’hui.

- Le concours de chronométrie : L’observatoire est associé à la création de concours de chronométrie visant à soutenir cette discipline et à comparer les performances des horlogers et industriels passionnés de précision.

- Une formation d’ingénieur unique l’Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques (ENSMM) dispense depuis 2010 une formation par apprentissage délivrant un diplôme d’ingénieur, spécialité Microtechniques et Design dans le luxe et la précision».

 

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