Black Zombie Procession : “La culture horrifique tient une place primordiale dans notre univers”

Le « freaky » groupe franc-comtois The Black Zombie Procession a sorti son troisième album Vol.III : The joys of being black at heart ce lundi 21 avril. Créé en 2006 par Nasty Samy (guitariste dans Second Rate), ce groupe à géométrie variable qui a vu passé de nombreux musiciens, propose sa nouvelle formule qui ne rentre dans aucune catégorie exceptée celle de « Horror Core »… Elibats, le chanteur, nous raconte l’univers du groupe…

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Ce troisième volume revient de loin ! En effet, Elibats, chanteur du groupe, nous raconte que "l'enregistrement n'a pas été simple car de nombreux musiciens ont participé à l’élaboration de cet album et les prises ont été échelonnées sur plusieurs mois voir plusieurs années pour certains titres." Finalement, BZP recadre ses influences dans une mixture bouillonnante à mi-chemin entre le rock métal ultra musclé, la culture thrash crossover du début des années 90 et le punk/hardcore moderne.

La "culture horrifique", primordiale dans l'univers du groupe

"Cet album a été nourri par la « sous-culture » sous toutes ses formes, du cinéma de genre de John Carpenter à Roger Corman en passant par Terence Fisher et la pupart des productions Hammer Film mais aussi par des cinéastes plus contemporains comme Eli Roth et Rob Zombie" explique Elibats. Il ajoute que " La « culture horrifique » tient une place primordiale dans l’univers de The Black Zombie Procession".

Du rock, du sang, des zombies... et une énergie positive !

Oui, l'image des Black Zombie Procession pourrait en effrayer plus d'un(e)... Mais justement, on parle d'image, d'influences culturelles et fantastiques. Elibats précise que "Même si le propos est souvent sombre et tourmenté, je pense qu'on dégage une énergie positive et nous sommes plus dans un esprit "I Care" que "No Future", pour faire court c'est plus compliqué de construire que de détruire..."

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