"Ces constats viennent illustrer que si le nombre de dommages rapporté au nombre de chantiers est en forte diminution depuis 2012 sur la région (taux de 0,26 %), il tend désormais à la stagnation et nécessite une vigilance constante des parties prenantes dans la mise en œuvre des mesures de prévention prévues par la réglementation", précise la Dreal.
Chaque année, plus d’une centaine de chantiers dans la région conduisent à des dommages sur les réseaux de transport et de distribution de tout type : transport de gaz naturel, d’hydrocarbures, de produits chimiques, d’eau potable ou d’eaux usées, de câbles électriques et de télécommunication.
Les non-conformités lors du contrôle du 11 juillet concernaient :
- Le non-renouvellement de l’habilitation (pour travaux à proximité de réseaux) pour un chef de chantier,
- des repérages de réseaux incomplets et non maintenus en état,
- l’absence de compte rendu de repérage des réseaux concernés par le chantier.