Après cette nouvelle macabre découverte, Philippe Koeberle de SOS Loue et Rivières comtoises précise que "La surveillance va continuer et ce chiffre ne correspond bien entendu qu'à la partie émergée de l'iceberg, d'autant plus que les eaux sont restées assez hautes jusqu'au début février".
Ci-contre, deux autres photos prises au même endroit à l'aval de Chenecey : la première, prise pendant l'hiver 2014 montre le traitement au glyphosate d'un champ en bordure de Loue, rive droite. La seconde, prise le 12 février 2015, montre le traitement d'un champ au glyphosate, au même endroit, mais rive gauche. "Peut-être qu'en 2016 "ils" traiteront directement la Loue..." ironise Philippe Koeberle.
"On peut constater ce qu'il en est des promesses d'amélioration des pratiques par certains agriculteurs ; Nous ne savons pas s'il s'agit du même agriculteur, mais c'est encore plus grave s'ils sont deux !" conclue-t-il.