GE souhaitait supprimer 238 postes dans sa branche nucléaire. Grâce au travail des organisations syndicales, le plan de suppression d’emplois a été revu à la baisse et les propositions de la direction concernent désormais 144 postes.
Pour les élus présents à la rencontre avec les organisations syndicales, "cela n’est pas acceptable". Ils précisent qu'ils apportent leur soutien aux organisations syndicales et exigent un moratoire sur toutes les suppressions d’emplois pour conserver les compétences au sein de l’outil industriel.
Les organisations syndicales souhaitent l’organisation rapide d’une table ronde avec le ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, pour évoquer le plan social, les perspectives d’un éventuel rachat de la partie nucléaire de GE, ainsi que les perspectives du site de Belfort.
Damien Meslot, Florian Bouquet, Marie-Guite Dufay, Cédric Perrin et Ian Boucard vont contacter Bruno Le Maire pour lui demander de recevoir une délégation composée de syndicats et d’élus, avant le 18 mai.
Ils cosigneront un courrier en ce sens, à l’attention du ministre, dans les prochains jours.
