Aujourd’hui, Fralsen reprend la production de certaines pièces fabriquées en Asie ce qui a entrainé des recrutements, mais aussi des tensions avec le retour des heures supplémentaires.
Une centaine de personnes travaillent chez Fralsen contre 3000 dans les années 60-70. La crise horlogère est passée par là.
(sources : L’Est Républicain)