John Deere continue de creuser son sillon à Gray

Implanté à Gray depuis 1968, le n°1 mondial du machinisme agricole John Deere continue d’y creuser son sillon. L’usine haut-saônoise du constructeur américain a affiché une cinquantaine de recrutements ces 15 derniers mois et en prévoit pas moins de 70 dans les années à venir.

La bonne santé du machinisme agricole en France, comme en Europe fait le bonheur de l’Américain John Deere, numéro un mondial du secteur (36,16 milliards de $ de chiffre d’affaires, en hausse de 11,5%, plus de 65.000 salariés). Et profite pleinement à son usine de Gray (Haute-Saône), l’un des dix sites européens du constructeur d’engins à la robe verte rehaussée de jaune. En témoigne, la cinquantaine de recrutements réalisés ces 15 derniers mois et les 70 à venir ces prochaines années.

Car pour Bruno Rodique (40 ans), directeur de cette unité de 440 CDI et jusqu’à 150 intérimaires depuis avril 2011, "ce qui fait la différence au final, ce sont les femmes et les hommes", souligne t-il. D’où la recherche permanente de savoir-faire. En ce moment, les profils souhaités sont dans la robotique, les automatismes, mais également le soudage et l’ingénierie en matière de méthodes et de développement.

Ici, à Gray, l’entreprise rachetée en intégralité par John Deere en 1968, fabrique des presses à balles rondes dédiées à la récolte du fourrage, des chargeurs frontaux (engins de manutention), et des faucheuses conditionneuses. L’innovation porte la croissance du site. Pas moins de 45 ingénieurs et techniciens travaillent au service R&D et le résultat est là.

Lire la suite de l’article de Didier Hugue sur le site de notre partenaire Traces Ecrites (lien ci-dessous).

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