L’horloger Vuillemin ne jure que par le Swiss made

L’amour a ses limites et Philippe Vuillemin, à la tête de la dernière manufacture d’horloges comtoises de Franche-Comté, vient sans doute de les atteindre. En octobre 2010, alors qu’il reprenait l’entreprise horlogère SERAMM, fondée en 1969 à Châtillon-le-Duc (Doubs), le dirigeant de la Manufacture Vuillemin, aujourd’hui âgé de 47 ans, y croyait pourtant à fond.

Un sérieux contact avec l’horloger suisse Vincent Calabrese, séduit par le mouvement Vuillemin au dernier salon de Bâle, pourrait bientôt lui faire franchir la frontière. Selon lui, le « made in France » en horlogerie n’a plus aucun sens. Seul compte le « Swiss made ».

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