Tous baccalauréats confondus, les effectifs sont en baisse cette année : moins 732 inscrits par rapport à 2014. Sur les 12 247 candidats inscrits, se trouvent :
- 10 482 candidats scolaires inscrits au baccalauréat de l’Éducation nationale (- 470 par rapport à 2014) ;
- 919 candidats scolarisés dans un lycée ou une maison familiale rurale et préparant un bac technologique ou professionnel du ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt - MAAF (- 163) ;
- 846 candidats non scolarisés (apprentis, candidats libres, ...) (- 99)
Les candidats par section
La filière générale est la seule à marquer une évolution positive de ses inscrits ; les bacs professionnel et technologique voyant leurs effectifs baisser. Retrouvez le nombre de candidats par établissements en photo jointe. À noter qu'autour du baccalauréat professionnel, cette année encore, le secteur service attire plus de candidats que le secteur production. Ils sont ainsi :
- 5.690 candidats au bac général (+78 par rapport à 2014) dont 784 en section L (-18 candidats), 1.727 en section ES (-139 candidats) et 3.179 en section S (+199 candidats)
- 2.016 candidats au bac technologique (-220) dont 70 en hôtellerie, 327 en ST2S, 21 en STD2A, 550 en STI2D, 184 en STL, 856 en STMG et 8 en TMD
- 2.776 candidats au bac professionnel (-328 candidats) dont 1.382 candidats en production et 1.394 en services
- 919 candidats au bac de l'agriculture (-163 candidats)
- 677 candidats non scolaires (-30 candidats)
- 169 candidats non scolaires au bac de l'agriculture (-69 candidats)
Près de 90% de réussite toutes séries confondues
L'Académie de Besançon a présenté en 2014 d'assez bons résultats. Avec un taux global de réussite de 89,46 %, la session du baccalauréat enregistrait une hausse 1,79 %.
Session 2014 :
- toutes séries confondues, 89,46 % (+ 1,79 %)
- bac général, 91,75 % (- 0,7 %)
- bac technologique, 92,82 % (+ 4,45 %)
- bac professionnel, 83,65 % (+ 5,24 %)
Fraude : la chasse aux connections
Enfin, à tous ceux qui auraient envisagé d'utiliser les "antisèches connectées", mieux vaut se raviser ! Depuis 2013, toutes les académies sont équipées de détecteurs de téléphones portables dont le nombre et l’emplacement sont confidentiels. Les recteurs répartissent ces appareils de façon aléatoire et veillent à les faire circuler entre les centres d’examen, tout au long des épreuves. "Une vigilance particulière sera portée sur tous les objets connectés, en particulier, les montres", avertit le Rectorat.