“Les Robes d’Antoinette”: une première boutique à Besançon

Ouverte en septembre 2012 au 3 rue Morand à Besançon, la boutique Lilith a laissé place il y a quelques semaines à une nouvelle enseigne Les Robes d’Antoinette, du nom de cette toute jeune marque française. Ou plutôt les robes de … Stéphanie !

Derrière Les Robes d’Antoinette (clin d’œil à la reine Marie-Antoinette, une "modeuse" avant l’heure, aussi élégante qu’espiègle) se cache en effet l’Alsacienne Stéphanie Boehm, installée à Besançon depuis quelques années. Férue de mode, cette trentenaire a choisi en septembre 2012, après une solide expérience dans la profession (elle a terminée comme responsable Nord-Est chez Naf Naf), de sauter le pas en lançant sa propre marque. Un an plus tard, la collection entièrement dessinée par Stéphanie et confectionnée à Porto est distribuée dans une quinzaine de points de vente à Paris, Strasbourg, Lyon, Bordeaux, Cannes, Nice, etc. Et après avoir juste disposé d’un show-room à Besançon, Stéphanie a ouvert en septembre 2013 la première boutique dédiée à sa marque au 3 rue Morand, toujours à Besançon.

Qu’y trouve-t-on ?

Toute la collection Les Robes d’Antoinette. Soit des robes – le point d’orgue de la marque "parce qu’elle sait mieux que personne mettre en valeur nos formes, cacher ce qu’il y a cacher, et découvrir ce que l’on veut révéler. Mais également car elle s’adapte à toutes les situations" -, ainsi que des jupes, des tee-shirts, des pulls, des gilets, des vestes, des manteaux imprimés. "On a quasiment tout sauf le pantalon", souligne Stéphanie Boehm. Sans oublier les accessoires, dont les nœuds papillons ou Lavallière et les cols Claudine qui habillent une tenue – autres produits phare de la marque – et des coussins pour l’intérieur. A cela s’ajoutent quelques bijoux ou pochettes fabriqués en France et signés de petits créateurs.

Se définissant comme "fraîche et girly" avec comme mot d’ordre de mixer les pièces pour un look entre simplicité et sophistication, entre élégance et malice, la marque s’adresse, selon la créatrice, plus à un état d’esprit qu’à un âge. "Au départ, je pensais toucher les 20-40 ans, je ne m’attendais pas à avoir des filles plus jeunes et des femmes plus âgées", signale-t-elle.

On aime

Le côté boudoir et le raffinement de la déco de cette petite boutique.

Le fait que les créations n’existent qu’en série limitée (ça évite d’avoir la même robe qu’une copine ou qu’une collègue) et que des nouveautés arrivent tous les mois et demi.

L’adresse

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