Jean-François Longeot se dit "fortement opposé à la dévitalisation progressive des communes."
Il s'oppose donc au nouveau texte : "même si le suffrage universel direct des conseillers communautaires a été supprimé ; même si la création du Haut Conseil des Territoires a été abandonné ; même si le seuil minimal pour constituer une intercommunalité a été abaissé de 20 000 à 15 000 habitants ; même si la minorité de blocage pour la mise en oeuvre de PLUI (Plans Locaux d’urbanisme intercommunal) a été abaissé ; même si la date du transfert obligatoire aux communautés de communes des compétences en eau et assainissement est reportée à 2020 ; et parce que la compétence du transport scolaire devient une compétence régionale alors qu’elle était jusqu’alors une compétence départementale de proximité."
À la veille de l’Assemblée générale des Maires du Doubs qui se tiendra ce samedi 11 juillet au matin à Valdahon, Jean-François Longeot réitère dans un communiqué tout son soutien aux élus des communes rurales.