Pascal Oudot, le dernier des Mohicans de la chaudronnerie ?

S’il n’en reste qu’un, il devrait être celui-là ! À 49 ans, Pascal Oudot préserve dans son atelier de Bolandoz (Doubs) un métier en perdition : chaudronnier. Il vient même de monter avec Nadine, sa femme, une troisième société à Besançon. L’absence de vocation chez les jeunes et la raréfaction des formations spécialisées l’oblige à des trésors d’ingéniosité pour continuer de développer son petit groupe d’entreprises. 

Ce colosse aux mains d’or y parvient avec pour principal atout de savoir imaginer des moutons à cinq pattes.

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