Les cinq industriels qui avaient jeudi rendez-vous simultanément à Paris, Brest et Laval avec des représentants des producteurs «ont accepté de revenir à la table des négociations avant le 20 août, sur la base de l'accord interprofessionnel du 3 juin 2009» dont la FNSEA réclame l'application, a-t-elle déclaré.
Toutefois, ils ont mis des «conditions suspensives excessives», a-t-elle déploré. La FNSEA exige «un respect plein et entier de l'accord» du 3 juin, a-t-elle dit. «Nous demandons 31,10 € d'augmentation par tonne et nous n'en démordrons pas», a-t-elle indiqué.