Il a réaffirmé que PSA n'avait «pas l'intention de fermer d'usine en France» et qu'il n'y aurait «pas de plan de licenciement en France en 2009».
Christian Streiff a assuré que PSA était «un groupe bien armé pour affronter le gros temps», avec «un taux d'endettement modéré, un actionnaire de référence solide» et des choix technologiques orientés «vers les produits qui domineront» le marché.
Il s'est dit «très attentif à l'évolution de la situation (des) fournisseurs» du groupe, qui est «le problème numéro un à l'heure actuelle».