Les deux sites ont choisis d’arrêter l’activité pendant une semaine afin d’adapter les stock à la demande commerciale. La situation n’est pas sans précédent puisque l'entreprise Peugeot-Citröen avait pris même décision en décembre dernier.
Avec la baisse des ventes de ses véhicules, le constructeur doit faire face à un trop-plein de production. Selon France 3, les immatriculations de voitures neuves au mois de février ont baissé de -34% pour Peugeot et de -22% pour Citröen.
23 000 salariés franc-comtois et alsaciens sont concernés par ce chômage technique. Ils toucheront 90% de leur salaire, mais les intérimaires ne seront pas payés.
A noter également que le chômage technique entamé le 20 février sur le site de Vesoul se prolongera jusqu’au 30 mars, du fait de l’embargo de l’Iran sur les pièces détachées de 206 produites par l’usine.
(Source: France 3)