Pour cette opération, SOS Racisme dit avoir mobilisé plus de 150 "testeurs" qui se sont présentés devant les portes de boîtes de nuit dans 14 villes françaises.
Ces résultats montrent que les boîtes de nuit qui refusent ainsi l’entrée à des jeunes "pratiquent une logique de seuil de tolérance inadmissible", estime l’association dans un communiqué. SOS racisme dénonce "l’inégal accès des jeunes aux loisirs et à la fête".
En plus des plaintes déjà déposées dans la foulée de ce testing, l’association annonce qu’elle va interpeller les maires et les préfets des territoires concernés, qui ont la possibilité de prendre des sanctions administratives à l’encontre des établissements concernés, afin de "les mettre face à leurs responsabilités".