«Non seulement ce projet nuit à la qualité de la statistique publique, mais il devrait coûter 200 millions d'euros. Vu le contexte économique actuel, est-il responsable et honnête de maintenir ce projet?
Ne serait-il pas plus utile de consacrer ces moyens à soutenir les entreprises et les salariés en difficultés? », s’interroge le comité dans un communiqué.
«Ce projet prévoit également à Metz la création d'un centre d'appels téléphoniques. Des centaines d'enquêteurs, personnels précaires qui réalisent actuellement ces enquêtes téléphoniques sur l'ensemble du territoire, dénoncent ce volet du projet qui aboutirait à la suppression de leur travail et au licenciement de nombreux enquêteurs», poursuit le communiqué.