Le grossiste Metro à Besançon met un coup de projecteur sur les producteurs locaux

Le magasin Metro, grossiste pour professionnels indépendants, organise ces 11 et 12 décembre 2019 un « salon des producteurs locaux« . 26 producteurs de Bourgogne-Franche-Comté sont mis à l’honneur pendant deux jours…

© Hélène Loget ©

Les restaurateurs ne peuvent pas les manquer en arrivant à Metro. Des tables de présentation sont installées à l'entrée du magasin où les commerçants proposent leurs produits régionaux. Sur chaque stand, un espace dégustation a été mis en place. Il est possible de rencontrer : les fromages Milleret la fromagerie Badoz, les fromages et yaourt bio de l'Enil de Mamirolle, l'eau Velleminfroy, les limonades artisanales Elixia, la bière Rouget de Lisle, les produits du Saugey, Les Griottines de Fougerolle, la brigade des épices, le Nectar de Bourgogne, les plateaux de Platex…

"Ce salon a été pensé pour que les professionnels de la restauration puissent (re)découvrir les produits régionaux que nous avons chez Métro", explique Matthieu Degrave, directeur de Metro en indiquant que l'idée de ce salon est venue de Marc Luciaud, vendeur rayon "marée" et futur adjoint de Metro Besançon. Il lui aura fallu deux mois afin de tout peaufiner pour ces deux jours : "Je voulais faire quelque chose qui sorte de l'ordinaire", souligne-t-il.

Un rôle de "dénicheur de talents"

Pour le directeur, ce "coup de projecteur" sur les producteurs locaux reste dans la continuité de ce que souhaite développer Metro : "nous avons aussi un rôle de dénicheur de talents. Nous allons chercher les producteurs pour mieux les représenter. Il s'agit de valoriser les terroirs", explique Matthieu Degrave tout en indiquant que Metro assure ainsi des "revenus fixes pour certains producteurs". Même topo concernant concernant le secteur poissons : "Nous faisons travailler plusieurs bateaux de pêche qui nous fournissent directement".

Une volonté d'interaction

L'enseigne met également en place des ateliers démonstrations avec Cuisine Mode d'Emploi(s) de Thierry Marx ou encore des CFA. "L'idée est de faire se rencontrer les acteurs, de mettre en contact lors de démonstrations de cuisine par exemple", conclut le directeur.

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