«Fortes du soutien des salariés, des jeunes et d'une majorité de la population et face à une attitude intransigeante du gouvernement et du chef de l'Etat, les organisations syndicales décident de continuer et d'élargir la mobilisation», indique le texte de l'intersyndicale.
Le 28 octobre, septième rendez-vous syndical depuis le début de la rentrée, constituera une «journée nationale de grèves et de manifestations dans la semaine du vote au Parlement» et le 6 novembre sera «une journée de mobilisation et de manifestations avant la promulgation de la loi par le chef de l'Etat», poursuivent les syndicats.