Journée mondiale de la santé : les conseils d’Atmo BFC pour limiter la pollution de notre air…

A l’occasion de la Journée mondiale de la santé, qui se tiendra vendredi 7 avril 2023 sous le thème "la santé pour tous", Atmo BFC rappelle dans un communiqué que la pollution de l’air a des effets délétères sur la santé, notamment celle des plus fragiles. Régulièrement qualifiée de premier sujet de préoccupation environnementale des Français dans les sondages, la qualité de l’air est un enjeu majeur de santé publique.

© Alexane Alfaro

L’air que nous respirons à l’extérieur et à l’intérieur des bâtiments contient différents polluants qui, une fois dans notre corps, peuvent être nocifs pour la santé. La majorité des gaz atteint les alvéoles pulmonaires, les particules quant à elles pénètrent plus ou moins profondément selon leur taille.

Atmo Bourgogne Franche-Comté explique que "ces polluants agissent sur la santé à court ou à long terme : sensation d’inconfort due aux mauvaises odeurs, irritation des yeux, de la peau et des muqueuses, toux, conjonctivite, allergie, rhinite, gêne respiratoire, bronchite, asthme, maux de tête, fatigue, nausées, malaises, maladies respiratoires chroniques, mortalité cardio-vasculaire, malformation du fœtus, cancers..." Ces effets dépendent de la nature du polluant (gaz, particules...), de la taille des particules, de nos caractéristiques (âge, sexe...), mode de vie (tabagisme...) et état de santé mais aussi de la durée d’exposition et de la dose inhalée. 

Des populations particulièrement fragiles 

Certaines personnes sont plus vulnérables ou plus sensibles que d’autres à la pollution de l’air, du fait de leur capital santé ou de leur âge. "Par rapport à la population générale, ces personnes vont présenter plus rapidement ou plus fortement des symptômes suite à une exposition à cette pollution, que ce soit à court terme ou à long terme", explique Atmo BFC. 

Certaines populations sont susceptibles de ressentir plus rapidement les effets de la pollution de l’air : 

"La pollution de l’air impliquée dans de (trop) nombreux décès" 

Troisième cause de mortalité après le tabac (78.000 décès) et l’alcool (49.000 décès), 48.000 décès prématurés seraient attribués à la pollution de l’air chaque année en France, soit 9% des décès (d’après l’Etude quantitative de l’impact sanitaire de la pollution atmosphérique par Santé Publique France, juin 2016). 

Quels sont les gestes pour limiter la pollution de notre air ?

Les conseils d’Atome BFC :

Agir sur nos déplacements

Agir sur nos installations de chauffage

Agir sur notre mode de vie
• Trier nos déchets ...
• Composter nos déchets organiques 

Agir aussi à l’intérieur de nos lieux de vie

• Aérer pendant et après le ménage ou les travaux de bricolage

Agir sur notre demande énergétique 

(Communiqué)

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