7% des heures de travail effectuées sur le chantier de la ligne à grande vitesse du TGV Rhin-Rhône doivent obligatoirement être proposées à des publics en difficulté. Cette clause sociale désormais appliquée à d’autres grands chantiers a porté ses fruits. Selon le préfet de Région, du 1er juillet 2006 au 31 mars 2008, 694 personnes en ont bénéficié pour un volume d’heures total oscillant entre 17% et 20%.
25% d’entre elles sont des jeunes éloignés de l’emploi, 45% des chômeurs de longue durée, 19% de bénéficiaires du RMI (revenu minimum d’insertion), 2% des bénéficiaires de l’allocation de solidarité spécifique ou de l’allocation de parent isolé, 7% de personnes âgées de plus de 50 ans et 2% sont des travailleurs handicapés.