Dans la tourmente, le BesAC reçoit Avignon ce vendredi au palais des sports

Le BesAC affrontera ce vendredi soir au palais des sports de Besançon l’équipe d’Avignon pour le compte de la 22e journée de national 1. Les hommes de Joseph Kalambani ont plus que jamais besoin d’une victoire pour encore croire en leurs chances de maintien dès la phase 1.

© Élodie R.

N1 : BesAC - Avignon-Le Pontet, vendredi à 20h au palais des sports de Besançon 

Si le BesAC peut encore mathématiquement acquérir son maintien dès la phase 1, celui-ci ne s’obtiendra pas sans un bon coup de collier. Le coach bisontin l’a d’ailleurs rappelé à l’issue de la dernière journée, "sans victoire la situation est critique". Son groupe dont le moral n’est d’ailleurs "pas au beau fixe" entend avant tout rester focus sur la phase 1 et continuer de tenter d’emmagasiner des victoires. 

Cinq matchs, c’est tout ce qu’il reste aux Bisontins pour réagir avant la fin de cette phase 1. Autant dire que le timing est serré et que la venue d’Avignon au palais des sports ce vendredi est loin d’arranger leurs affaires. 

S’il est vrai que les Bisontins étaient aller gagner de justesse à Avignon lors du match aller (92-93), rien ne dit que le groupe de Joseph Kalambani, décimé par les blessures, sera une nouvelle fois en mesure de s’imposer. Sans Dibo et Rey blessés, Boyer (cheville) et Da Silva (épaule) pas au meilleur de leur forme, le BesAC devra une nouvelle fois miser sur une solidarité défensive pour espérer sans sortir. Les 2,08 m du nouveau joker médical Matthieu Gamberoni ne seront ainsi pas de trop pour compter sur plus de présence au rebond de la part des Bisontins.

Face à eux, le 8e du classement est un pourtant assurément un gros morceau qui compte 3 victoires lors des 5 derniers matchs disputés. Pas rien quand on sait que leurs trois derniers adversaires n’étaient autre que les trois actuels têtes de poules. Tombeurs du leader Hyères-Toulon (73-71), nul doute que les Avignonnais arriveront à Besançon avec les dents longues et l’envie de poursuivre leur actuelle dynamique… Le BesAC a d’ores et déjà du souci à se faire. 

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