EAK: les trois dirigeants libérés

Trois cadres du sous-traitant automobile EAK à Valentigney ont pu quitter tôt jeudi matin le site où ils étaient retenus depuis mardi soir par des salariés qui exigeaient des compensations à la fermeture du site annoncée pour 2011.

Les deux syndicats réclament 30.000 euros de prime de fermeture et 10.000 euros pour la perte de salaire des mois chômés depuis 2008.
 
Une table ronde avec des représentants de l'Etat et la direction de Faurecia est prévu vendredi demain vendredi.
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