"Ce soir, nous parlerons du procès de Jean-Louis Fousseret et d’Alexandra Cordier", lance Jacques Ricciardetti à quelques heures de son meeting en précisant que "les amis d’hier son les ennemis d’aujourd’hui", en rappelant la plainte et l’appel d’Anne Vignot, maire de Besançon et ancienne élue à la biodiversité lors du mandat de Jean-Louis Fousseret.
Deuxième point évoqué lors de son meeting : "Le vivre-ensemble à Besançon". Par la même Jacques Ricciardetti entend évoquer les "problèmes des rues de la soif" et "l'occupation du domaine public intempestive". À cela, le candidat à l’élection rappelle vouloir une ville ou la police municipale est doublée, armée ainsi que la mise en place d’une brigade canine et des caméras dans le tramway et une présence municipal au sein de ces derniers.
Autre point qui a été relevé par le candidat : une ville ou les "organismes sociaux sont débordés" avec "une maire qui veut dégager Anne Hidalgo de 200 migrants" pour les "prendre à Besançon".
Enfin, il veut repenser les événements culturels de la ville qui sont en "déficit d’audience".
Zoom sur les axes du programme pour l’élection municipale 2026 à Besançon
"Nous serons en tête au premier tour des opposants à Besançon", annonce Jacques Ricciardetti lors de la conférence de ce vendredi soir. S’il affirme "qu’il n’a pas de baguette magique", il s’engage toutefois à changer certaines très rapidement s’il est élu comme : "coup de pouce aux indépendants qui se lancent", "la gratuité des transports entre midi et deux ou encore le réaménagement du parking du marché des Beaux-Arts avec une alternance voiture tramway pour plus de fluidité et une réouverture du pont de la République qui est actuellement "une hérésie", selon J. Ricciardetti qui pense à d’autres installations telles que l’élargissement du point pour les piétons et les vélos.
"Il n’y a pas de baguette magique, mais on a réfléchi, il y a de la technique même si on entend beaucoup de raillerie", précise-t-il.
Les trois axes prioritaires du programme, il rappelle :
- La sécurité : doublement de la police municipale armée
- La fluidité à Besançon : une circulation désengorgée avec un plan cyclable repensé
- L’attractivité économique : projet de Zénith porté par le RN aine de "déplacer Micropolis et faire un centre de rencontres et de congrès à Auxon (…) Transformer le train qui va à Auxon en
- tram-train avec une cadence de 10 min. Le tout avec un nœud multimodal pour amener jusqu’à la zone de Valentin".
Et concernant les alliances politiques, la porte est-elle ouverte ? "Au rassemblement national, on rassemble", rappelle Géraldine Grangier.
