Dans un communiqué du 4 juillet, Jean-François Longeot “salue les récentes annonces gouvernementales”. Trois écoles vont être créées pour former les professionnels du forage. Le sénateur décrit cette mesure comme une première étape positive pour structurer la filière et répondre aux besoins en compétences.
Cependant, l’élu estime que “ces mesures doivent désormais s’inscrire dans un plan plus large et plus ambitieux”. Les principaux acteurs du secteur “attendent des perspectives claires et stables pour pouvoir augmenter leurs investissements.”
Pour ce plan d’action, Monsieur Longeot le veut donc clair, ambitieux et donnant un cap au développement de la filière. Un objectif commun et global qui ferait avancer tous les acteurs dans le même sens.
“ATOUT MAJEUR POUR LES TERRITOIRES RURAUX”
Le sénateur appuie sa demande et la justifie en expliquant que la géothermie pourrait être un outil “particulièrement adapté pour les communes rurales et les petites villes”. De part ses qualités écologiques, durables et décarbonées, la géothermie pourrait être, selon le sénateur, une bonne alternative.
De plus, en puisant directement dans la chaleur présente sous nos pieds, elle aurait “peu d’impact sur les paysages” et serait un bon moyen d’offrir une “solution locale”.
Jean-François Longeot voit la géothermie comme “un allié non-négligeable pour accompagner la transition écologique des territoires”.