Pour les personnes vulnérables :
Femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants, personnes de plus de 65 ans, personnes souffrant de pathologies cardiovasculaires, insuffisants cardiaques ou respiratoires, personnes asthmatiques :
- en cas de gêne respiratoire ou cardiaque, prenez conseil auprès d’un professionnel de santé ;
- privilégiez des sorties plus brèves et celles qui demandent le moins d’effort ;
- prenez conseil auprès de votre médecin pour savoir si votre traitement médical doit être adapté le cas échéant.
Dans cas de pollution à l’ozone :
- évitez les sorties durant l’après-midi lorsque l’ensoleillement est maximum ;
- évitez les activités physiques et sportives intenses (dont les compétitions) en plein air ; celles peu intenses à l’intérieur peuvent être maintenues.
Pour les population sensibles :
Personnes se reconnaissant comme sensibles lors des pics de pollution et/ ou dont les symptômes apparaissent ou sont amplifiés lors des pics (par exemple : personnes diabétiques, personnes immunodéprimées, personnes souffrant d’affections neurologiques ou à risque cardiaque, respiratoire, infectieux) :
- en cas de gêne respiratoire ou cardiaque, prenez conseil auprès d’un professionnel de santé ;
- privilégiez des sorties plus brèves et celles qui demandent le moins d’effort ;
- prenez conseil auprès de votre médecin pour savoir si votre traitement médical doit être adapté le cas échéant.
Dans cas de pollution à l’ozone :
- évitez les sorties durant l’après-midi lorsque l’ensoleillement est maximum ;
- évitez les activités physiques et sportives intenses (dont les compétitions) en plein air ; celles peu intenses à l’intérieur peuvent être maintenues.
Pour la population générale :
- en cas de gêne respiratoire ou cardiaque, prenez conseil auprès d’un professionnel de santé. ;
- privilégiez des sorties plus brèves et celles qui demandent le moins d’effort.
Dans cas de pollution à l’ozone :
- les activités physiques et sportives intenses (dont les compétitions) à l’intérieur peuvent être maintenues.
Peut-on continuer d’aérer les habitations ?
En cas de pic (ou épisode) de pollution de l’air, il est recommandé de ne pas modifier les pratiques habituelles d’aération et de ventilation car :
- la situation lors d’un épisode ”habituel” de pollution, c’est-à-dire en dehors de situations spécifiques telles qu’un accident industriel, ne justifie pas des mesures de confinement ;
- l’aération et la ventilation permettent de réduire la pollution de l’air se concentrant à l’intérieur des bâtiments. Celle-ci provient à la fois de diverses sources de pollution présentes à l’intérieur des bâtiments (matériaux, peinture, produits d’entretien, tabac, appareils de combustion, cosmétiques, bougies parfumées …) ainsi que du transfert d’une partie de la pollution de l’air provenant de l’air extérieur, et est également à l’origine d’effets sur la santé.
De manière générale, il est recommandé d’aérer et de ventiler aux périodes de la journée les moins polluées (pour connaître la qualité de l’air en un point du territoire, consulter les informations diffusées par l’association agréée de surveillance de la qualité de l’air de la région.