"L’urgence des situations n’a pas été reconnue malgré le fait que certains parents n’aient toujours pas de solution pérenne pour leurs enfants", explique le collectif qui précise qu'il sera "très attentif" à la suite juridique concernant les dossiers de fond et "espère qu'ils seront jugés au plus tôt".
Le collectif « Cantines en colère » regrette le rejet de l’urgence de ces 4 dossiers par le Tribunal Administratif de Besançon.
Par ailleurs, le collectif continue son action afin de préparer les rentrées futures :
- Le collectif cherche à avoir une vision "plus large" des difficultés rencontrées par les parents et de la diversité des problématiques. Ils ont pour cela envoyé un mail "aux directeurs d’écoles par l’intermédiaire de la FCPE afin de communiquer les coordonnées du collectif aux parents".
- Le collectif continue de rencontrer les élus et candidats aux élections Municipales de mars 2020 pour échanger sur les problématiques et les partager "sur des propositions concrètes"
- La demande de rendez-vous envoyée à Monsieur Fousseret le 18 septembre est à ce "jour restée sans réponse", conclut le collectif.