Un chercheur de l’UFC impliqué dans les recherches sur Rosetta

Les hypothèses des scientifiques autour de la présence de l’eau dans l’atmosphère due à une origine cométaire, sont remises en question aujourd’hui. La mission Rosetta aurait en effet enregistré d’autres résultats. Un chercheur de l’Université de Franche-Comté y a pris part.

"Les premières mesures de l’instrument ROSINA de la mission Rosetta révèlent que le rapport Deutérium/Hydrogène (ou D/H) de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko est fortement enrichi en deutérium. Ces résultats sont en désaccord avec les hypothèses qui attribuent une origine cométaire à l’eau présente dans l’atmosphère et les océans terrestres", explique l'Université de Franche-Comté et le CNRS dans un communiqué.

D'autres analyses et mesures sont en cours. Plusieurs laboratoires participent à cette étude nationale dont l’université Toulouse III – Paul Sabatier, l’UPMC, l’UVSQ, l’université d’Orléans, l’université de Lorraine et l’université de Franche-Comté.

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