Depuis 2014, Urolib a traité plus de 900 patients par HIFU, mené neuf études cliniques et accueilli des équipes du monde entier pour se former. Les résultats de l’étude nationale HIFI, coordonnée par le Pr Pascal Rischmann, confirment les bénéfices majeurs de cette approche mini-invasive : moins de complications que la chirurgie et une qualité de vie largement préservée.
Au cours de l’événement, un patient ambassadeur, lui-même médecin, est venu témoigner de son expérience et du retentissement positif du traitement focal sur son quotidien.
Un écosystème technologique local de rang mondial
La soirée a mis en lumière la filière microtechnique biomédicale bisontine, en particulier l’entreprise Imasonic, qui fabrique le transducteur HIFU au cœur du dispositif. Aux côtés d’EDAP TMS, leader mondial des technologies HIFU, Urolib a rappelé l’importance de la collaboration étroite entre ingénieurs, industriels et cliniciens dans l’évolution du traitement focal.
Un temps d’échange scientifique franco-suisse en amont
Avant la soirée, une réunion a réuni chercheurs, industriels et cliniciens français et suisses afin d’échanger sur les futures générations de traitements mini-invasifs du cancer de la prostate et les perspectives de recherche partagée.
Urolib a également rappelé le rôle essentiel de l’innovation, de la recherche clinique et de la formation dans l’amélioration continue de la prise en charge. Cette triple dynamique – soigner, étudier, transmettre – constitue aujourd’hui un levier régional majeur au service des patients et de la qualité des soins.
(Communiqué)
