Le 2e blessé de la tuerie du Valais tiré d’affaire
Les jours du père de famille de 33 ans, grièvement blessé par le tueur du Valais, le 2 janvier dernier, ne sont plus en danger, a indiqué samedi la police cantonale du Valais dans un communiqué.
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Les jours du père de famille de 33 ans, grièvement blessé par le tueur du Valais, le 2 janvier dernier, ne sont plus en danger, a indiqué samedi la police cantonale du Valais dans un communiqué.
La gendarmerie française de Haute-Savoie, qui enquête sur la tuerie de Chevaline, près d'Annecy, s'intéresse à l'auteur de la tuerie de Daillon, dans le canton suisse du Valais, survenue mercredi soir, a-t-on appris vendredi de source policière à Sion (canton du Valais).
L'auteur de la tuerie du Valais, survenue le 2 janvier dans le hameau de Daillon, a voulu régler avec son geste "un problème familial de longue date", selon le ministère public du canton, qui l'a interrogé jeudi soir.
Aucun contact n'a été établi avec Mohammed Merah depuis mercredi soir à 22h45, a déclaré Claude Guéant ce matin sur RTL. "On ne sait s'il est vivant ou mort", a également confié l'ancien préfet de Franche-Comté au Figaro.
Après la fusillade lundi matin devant le collège-lycée Ozar Hatorah de Toulouse, les réactions d’indignation se multiplient. Pour le maire de Besançon «cet acte inqualifiable nous renvoie à nos pires craintes », l’Association France Palestine Solidarité de Besançon condamne « avec force ces actes barbares ». Enfin, pour le Modem Philippe Gonon « Que des enfants innocents puissent être pris pour cible et assassinés dans de telles conditions, cela dépasse l’entendement ».
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