Vincent Diaz: "Alain Joyandet ne serait pas venu, le BRC serait mort !"

Publié le 03/11/2009 - 14:37
Mis à jour le 03/11/2009 - 14:37

Dans une interview exclusive accordée au quotidien Le Pays, Vincent Diaz, ancien président du BRC, estime que c’est le secrétaire d’Etat à la Coopération et à la Francophonie qui a remis le club de foot de Besançon sur les rails. La mairie appréciera…

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"Alain Joyandet ne serait pas venu, le BRC serait mort! Tout le monde le sait. On m'avait dit: il faut que tu partes pour que la Ville agisse. Il n'empêche que Joyandet a été décisif. Il a été le sauveur du club", a déclaré Vincent Diaz au Pays. Il a également promis de verser les 124000 euros qu'il doit encore au club.

L'ancien président, qui rappelle avoir investi 800 000 euros en trois saison en tant que patron de Créditec, a souligné qu'il manquait de gens de confiance à ses côtés.

"Le président que j'étais est bien sûr responsable, je ne le nie pas. Mais en disant celà, on oublie et on masque deux réalités. J'avais d'une part à mes côtés, trois vice-présidents, un secrétaire, un trésorier et des membres du bureau. D'autre part, on a vite oublié que si la délibération du conseil municipal (ndlr: sur une subvention de 240000 €) était arrivée à temps, nous serions en national", accuse Vincent Diaz.

Par ailleurs, il estime que sa plus grosse erreur a été d'avoir nommé Jean-Marc Pélissier directeur du club. Il n'en dira pas plus sur ce dernier "car, précise-t-il, j'ai déposé plainte pour détournement de fonds, abus de confiance, faux et usage de faux".

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