Après l'annonce du retour de l'enseigne à Chateaufarine, un nouvel établissement Quick ouvrira ses portes le 9 octobre 2025 à Botans dans le Territoire de Belfort. Julien Evora sera à la tête du restaurant franchisé qui précise avoir recruté 60 personnels.
Alors qu’on croyait l’enseigne belge vouée à disparaître après son rachat par le groupe Bertrand, qui avait pour objectif de transformer tous les restaurants français en Burger King, Quick connaît finalement un second souffle. Depuis son acquisition en 2021 par le fonds américain HIG Capital, la chaîne a triplé sa rentabilité et voit de nouvelles franchises s’implanter un peu partout en France. C’est désormais au tour de Besançon d’accueillir à nouveau un restaurant Quick dans la zone commerciale de Chateaufarine, marquant son retour dans ce secteur.
Après l’annonce sur maCommune.info de la fermeture du Quick Chateaufarine le 10 septembre 2017 qui deviendra prochainement un Burger King, la question se pose également pour le Quick du centre-ville, place Pasteur à Besançon.
Le 10 septembre 2017, le Quick de Chateaufarine à Besançon a fermé définitivement ses portes au grand dam des habitués du fast food. Mais le restaurant rapide rouvrira dans deux mois sous une nouvelle enseigne…
Les deux restaurants Quick de Besançon pourraient bien rendre leurs enseignes pour celles de Burger King. Le groupe Bertrand, qui est l’actionnaire majoritaire en France de ce dernier, a en effet annoncé ce lundi être en négociation pour le rachat de Quick.
Le Quick situé dans la Grande rue au centre-ville de Besançon est fermé depuis le 5 janvier pour travaux.
Vendu depuis le 1er avril 2014 en solo à 2,5 euros et dans les menus pour enfants, le burger à la sauce « vache qui rit® » du fromager jurassien se veut être celui de la bonne humeur ! Ce n’est pas la première fois que le fast food s’associe à Bel.
L’enseigne de restauration rapide Quick étend dès mercredi son offre de restaurants halal pour conquérir une nouvelle clientèle et doper ses ventes, confortée par une expérimentation qu’elle qualifie de «réussite commerciale». La Franche-Comté n’est pas concernée.
