L'ARS partage ses conseils pour se baigner en toute sécurité

Publié le 27/06/2023 - 17:01
Mis à jour le 27/07/2023 - 09:41

L'agence régionale de la santé de Bourgogne-Franche-Comté assure une surveillance sanitaire de la qualité des eaux de baignade dans la région. Voici ses conseils...

"En suivant ces quelques conseils, vous pourrez profiter pleinement de la baignade, tout en réduisant les risques d'accident et en évitant de nombreux désagréments", selon l'ARS BFC. Lors de l’été 2022, 1.000 noyades accidentelles ont été recensées.

Baignades

  • Baignez-vous dans les secteurs surveillés et respectez les consignes locales de sécurité;
  • Apprenez à nager et accompagnez les enfants au bord de l'eau ;
  • Ne surestimez jamais vos capacités physiques ;
  • Évitez la baignade dans les 2 heures qui suivent un repas copieux ou une consommation d’alcool ;
  • Entrez progressivement dans l'eau, surtout après une exposition prolongée au soleil, pour éviter toute hydrocution.

Chaleur, déshydratation et exposition au soleil excessive :

  • Exposez-vous au soleil progressivement et raisonnablement ;
  • Évitez de vous exposer aux heures les plus chaudes de la journée, entre 11h et 16h ;
  • Utilisez des crèmes solaires protectrices, chapeaux, lunettes et tee-shirt surtout pour les jeunes enfants et nourrissons très sensibles au soleil et aux coups de chaleur.

Propreté des sites de baignade :

  • Un sable qui n'est pas très propre peut être à l'origine d'affections dermatologiques. Utilisez une serviette pour vous allonger sur le sable si nécessaire et profitez des douches mises à votre disposition. À défaut, prenez une douche à minima de retour chez vous.
  • La plage est un espace public, gardez la propre en utilisant les poubelles pour les déchets et les installations sanitaires mises à votre disposition.
  • N’emmenez pas d’animaux domestiques sur la plage, les plages sont souvent interdites aux animaux pendant la saison balnéaire.
Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Santé

Les Bourguignons Franc-Comtois vivent vieux mais en moins bonne santé que le reste de la France...

ÉTUDE INSEE • Selon une étude publiée le 4 novembre 2025 par l’Insee Bourgogne-Franche-Comté, la population régionale présente ”un état de santé plus dégradé qu’au niveau national”. Malgré une espérance de vie élevée, les habitants de la région sont davantage touchés par les maladies chroniques et la mortalité prématurée.

Cancer colorectal : les infirmières libérales de Besançon bientôt autorisées à remettre des kits de dépistage

Le cancer colorectal est la deuxième cause de cancer alors qu’il existe pourtant "un test de dépistage fiable, simple et rapide" juge la Communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) CaPaciTéS Besançon & Métropole. Dans le cadre d’une expérimentation inédite en France, elle lance ainsi un appel aux infirmières libérales à se former afin de pouvoir délivrer des kits de dépistage directement auprès de leurs patients. 

Le kiwi, un “super-fruit” à savourer pour allier plaisir et santé selon Valentine Caput

L'OEIL DE LA DIET' • En juillet 2025, l’Union européenne a fait du kiwi, le premier fruit à obtenir une "allégation santé". L’occasion parfaite pour notre diététicienne, Valentine Caput, de revenir sur l’intérêt de ce petit fruit aux grands bienfaits.

Dermatose : les exportations de jeunes bovins vont reprendre dans les zones indemnes

Le ministère de l'Agriculture a annoncé jeudi 30 octobre 2025 la reprise des exportations de bovins, suspendues pendant quinze jours pour éviter la propagation de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), qui continue toutefois de progresser dans les Pyrénées Orientales et dans le Jura où la suspension perdure.

“Le médecin légiste, c’est le médecin de la violence” : la chambre mortuaire du CHU de Besançon avec Dr Elisabeth Martin

Patricienne hospitalière depuis la fin de ses études en 2010, le Dr Elisabeth Martin dirige depuis mars 2024 le service de médecine légale et de victimologie du CHU de Besançon. Derrière les portes souvent fantasmées de ce service, c’est un métier méconnu, à la croisée du soin, du droit et de la justice, qu’elle nous décrit avec précision et humanité.

Une start-up de Besançon veut offrir un implant à chaque enfant atteint de fente faciale en 2026

L’entrepreneur et créateur de contenus Mikaël Demenge a annoncé sur ses réseaux sociaux lundi 28 octobre 2025 un nouvel engagement solidaire en faveur des enfants porteurs de fentes faciales, en partenariat avec la start-up bisontine Ennoïa et le service de chirurgie maxillo-faciale et plastique de l’hôpital Necker-Enfants Malades.

Octobre rose : Et si vous donniez vos cheveux pour confectionner des perruques ?

Les perruques médicales sont souvent utilisées lors de chimiothérapies. Elles peuvent avoir un coût élevé même si certaines sont en partie remboursées par la sécurité sociale. Il n’empêche qu’il peut y avoir un reste à charge important pour les patients suivant la qualité de la perruque… Il existe toutefois des moyens pour réduire ces coûts, comme le don de cheveux… On en parle ce mois d’octobre 2025 avec Johanna Dornier gérante de Beauty Hair, un salon de coiffure partenaire de l’association "Fake hair don’t care*".

Doubs : 40.000 sacs distribués dans les pharmacies pour alerter sur la conduite sous médicaments

VIDÉO • La nouvelle campagne de sécurité routière met l’accent sur la prévention des risques liés à la conduite après la consommation de médicaments. C’est dans ce cadre que la préfecture du Doubs a lancé vendredi 24 octobre à la pharmacie Lafayette des Tilleroyes à Besançon, le début d’une campagne d’un mois prévoyant la distribution de 40.000 sacs de sensibilisation dans 40 pharmacies partenaires du département.

Julien Odoul demande un centre de radiothérapie à Sens

"Dans l’Yonne, les habitants sont plus susceptibles de mourir d’un cancer que la moyenne nationale", alerte Julien Odoul. Une situation directement liée "à la faiblesse de l’offre de soins dans le département". Avançant une inégalité territoriale, le député du Rassemblement National réclame un centre de radiothérapie à Sens. 

Influenza aviaire : Annie Genevard relève le niveau de risque sur l’ensemble du territoire national

La ministre de l’Agriculture, a décidé de relever le niveau de risque sur l’ensemble du territoire national. À compter du mercredi 22 octobre, le risque est qualifié "élevé" et s’accompagne d’un renforcement de la surveillance des élevages de volailles et des mesures de protection.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 5.68
couvert
le 09/11 à 00h00
Vent
1.02 m/s
Pression
1018 hPa
Humidité
94 %