"Je comprends, et je partage, les préoccupations du p-dg d’Alstom", commente Christophe Grudler. "Il faut que chacun agisse, à son niveau, sur les pistes évoquées : une montée en puissance plus rapide de la production des TGV du futur, la recherche de nouveaux contrats internationaux pour des débouchés pour nos locomotives fret, la poursuite de la recherche et développement sur les locomotives à hydrogène fret et voyageurs."
2021 est l’Année européenne du rail, comme l’a définie la Commission : "il faut profiter de cette dynamique pour renforcer l’activité ferroviaire partout en Europe, et notamment à Belfort, en utilisant les moyens mis à disposition du secteur. Je continuerai à m’y employer sans relâche avec les Commissaires européens Valéan et Breton, en charge des transports et de l’industrie."
Christophe Grudler se déclare enfin "satisfait de la mobilisation absolue du groupe Alstom pour défendre l’avenir du site belfortain et l’emploi de ses collaborateurs : c’est le message attendu par les salariés avec lesquels j’échange régulièrement".