Carrefour condamné pour blessures involontaires
Publié le 11/03/2009 - 11:46
Mis à jour le 11/03/2009 - 11:46
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Mis à jour le 11/03/2009 - 11:46
"Je vis comme dans le corps d’une vieille personne” : une première victime présumée de l'anesthésiste Frédéric Péchier, Sandra Simard, a témoigné jeudi 18 septembre 2025 devant la cour d'assises du Doubs, décrivant un "calvaire" depuis son empoisonnement pendant une opération.
"Un personnage charismatique de sauveur": un ancien collègue de Frédéric Péchier, accusé de 30 empoisonnements, dont 12 mortels, a décrit jeudi 18 septembre 2025 devant la cour d'assises du Doubs le rôle de "leader" que jouait l'accusé parmi les anesthésistes au sein de la clinique Saint-Vincent de Besançon.
Une ex-collègue du docteur Frédéric Péchier, jugé pour empoisonnements devant les assises du Doubs, s'est dite "choquée" mercredi par une intervention en 2017 de l'anesthésiste, venu administrer un médicament inattendu, sans concertation, lors d'un arrêt cardiaque en pleine opération.
+ PRISE DE PAROLE DE FRÉDÉRIC PÉCHIER + ME SCHWERDORFFER + PARTIE CIVILE • Le septième jour du procès de Frédéric Péchier s’est poursuivi cet après-midi du 16 septembre 2025 avec l’audition de Vincent Bailly, chirurgien de Jean-Claude Gandon, victime présumée. Plusieurs témoins, notamment des infirmières présentes durant l’opération, ont également été entendus. Pour rappel, le Docteur Péchier est soupçonné de 30 faits d’empoisonnement, dont 12 mortels. En images, il exprime son impatience...
L’audience de rentrée solennelle du tribunal administratif de Besançon s’est tenue ce mardi 16 septembre 2025. Elle a été animée par la présidente Cathy Schmerber, en présence des magistrats, personnels de la juridiction, ainsi que le préfet du Doubs, la maire de Besançon, ainsi que plusieurs élus et représentants des forces de l’ordre et de l’armée.
Le premier témoin entendu ce 16 septembre 2025 lors de l’ouverture du septième jour d’audience à la cour d’assises de Besançon est une ancienne infirmière en cardiologie de la clinique Saint-Vincent. Pour rappel, Frédéric Péchier est accusé de 30 faits d’empoisonnement, dont 12 mortels.
Lors du septième jour du procès de Frédéric Péchier, anesthésiste soupçonné de 30 empoisonnements, dont 12 mortels, dans deux cliniques de Besançon, ce mardi 16 septembre, le deuxième avocat de l’accusé, Me Lee Takhedmit, n’était pas présent aux côtés de son client. Pourquoi ? Randall Schwerdorffer nous explique.
Victime au "hasard" ? Une infirmière a raconté lundi 15 septembre 2025 comment elle a choisi de façon aléatoire une poche de perfusion qui a failli tuer une patiente opérée en 2017 à Besançon, où l'ex-anesthésiste Frédéric Péchier est jugé pour empoisonnements.
La première semaine du procès du docteur Frédéric Péchier, anesthésiste bisontin accusé de 30 empoisonnements, dont 12 mortels, s'est tenu du 8 au 12 septembre 2025 à Besançon. Revivez chronologiquement les cinq jours de ce premier procès hors normes.
La cour d'assises du Doubs a examiné vendredi 12 septembre 2025 les secours apportés par l'anesthésiste Frédéric Péchier à une femme en arrêt cardiaque, selon un protocole qui, pour l'accusation, prouve qu'il connaissait la nature du poison qui lui avait été administré. Des débats techniques se sont ainsi enchaînés autour d’un poison et d’un remède.
Deux anesthésistes, qualifiés de "lanceurs d’alerte", ont mis en lumière ce que la justice décrit comme le "tabou de l’assassinat médical". Jeudi 11 septembre 2025, quatrième jour du procès, la cour d’assises du Doubs s’est penchée sur l’origine de l’affaire des 30 empoisonnements dont 12 mortels reprochés au docteur Frédéric Péchier.
Deux médecins anesthésistes ont été les "lanceurs d'alerte" de l'affaire des empoisonnements de patients à la clinique Saint-Vincent de Besançon, a expliqué jeudi 11 septembre 2025 un enquêteur, au quatrième jour du procès du docteur Frédéric Péchier.
La cour d’assises du Doubs poursuit l’examen du dossier de Frédéric Péchier, l’ancien anesthésiste bisontin accusé de 30 empoisonnements présumés entre 2008 et 2017. Ce mercredi 10 septembre, troisième jour du procès, les débats ont porté sur les cas de deux patients : Sandra Simard et Jean-Claude Gandon.
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