Publié le 03/08/2010 - 17:29
Mis à jour le 03/08/2010 - 17:29
L’homme d’une vingtaine d’années d’origine laotienne, qui s’est rendu à la police lundi, a été mis en examen et écroué ce mardi à Besançon pour le meurtre à l’arme blanche d’un couple de Laotiens à Saint-Claude dans le Jura.
Le suspect décrit comme perturbé mentalement a reconnu les faits et est poursuivi pour assassinats.
Les corps de Marie-France et Boulian Inthavong, âgés d'une cinquantaine d'années, avaient été découverts samedi matin à leur domicile de Saint-Claude. Leur petite-fille de 8 mois dont ils avaient la garde pendant les vacances de sa mère avait été retrouvée vivante dans l'appartement.
Marie-France Inthavong était la présidente de l'association des réfugiés laotiens du Jura.
La procureure de la République adjointe, Christine de Curraize, a tenu une conférence de presse vendredi 26 juillet 2024 en fin d’après-midi afin d’apporter des informations sur une altercation survenue jeudi 25 juillet vers 15h00 avenue Ile-de-France, dans le quartier de Planoise à Besançon.
Près de 500 véhicules et 900 personnes ont été contrôlés entre la France et la Suisse à l’approche des Jeux olympiques dans la nuit du 24 au 25 juillet 2024 sur 570 km de frontière.
Mise à jour • Les sapeurs-pompiers du Doubs ont été appelés à Noël-Cerneux pour un feu d’habitation isolée jeudi 25 juillet 2024 peu avant 6h00 du matin. Une conférence de presse a été donnée au parquet de Besançon ce vendredi.
Depuis le mois d’octobre 2023, les poids lourds se bloquent à tour de rôle sous le pont des Rosiers à Pontarlier. Une page Facebook a été spécialement créée suite à cette enchaînement incroyable de collisions. Mercredi 24 juillet 2024, un 100e camion a été pris au piège…
Mise à jour • Un important dispositif a été mis en place mercredi 24 juillet 2024 depuis 11h45 au musée des maisons comtoises de Nancray afin de sécuriser la zone et d’éviter tout mouvement de foule.
L'association animaliste L214 a annoncé mercredi 24 juillet 2024 avoir de nouveau porté plainte contre un abattoir du groupe Bigard en Bourgogne, dénonçant une situation "toujours alarmante" malgré une première alerte lancée en avril, qui avait mené à un contrôle des services de l'Etat.
