L’homme originaire de Mandeure interpellé avec un kilo de haschich en Côte d'Or a été remis en liberté et sera devant le tribunal correctionnel de Montbéliard le 4 décembre.
Publié le 09/11/2009 - 09:42
Mis à jour le 09/11/2009 - 09:42
L’homme originaire de Mandeure interpellé avec un kilo de haschich en Côte d'Or a été remis en liberté et sera devant le tribunal correctionnel de Montbéliard le 4 décembre.
VIDÉO • La cour d’assises du Doubs a abordé ce mercredi 26 novembre 2025 les deux derniers décès du dossier Péchier actuellement jugé pour 30 faits d’empoisonnements dont 12 mortels entre 2008 et 2017. L’anesthésiste Loubna Assila qui avait refusé l’entrée de son bloc à Frédéric Péchier lors de l’arrêt cardiaque d’une des deux victimes, a livré un témoignage poignant et accablant l’ex-anesthésiste ce mercredi devant la cour.
Deux patients de médecins "considérés comme des comploteurs" par l'anesthésiste Frédéric Péchier ont été la cible d'empoisonnements à l'automne 2016, a estimé mardi 25 novembre 2025 un enquêteur devant la cour d'assises du Doubs.
L'empoisonneur "s'est servi de notre petit garçon pour régler des comptes", a regretté lundi 24 novembre 2025 devant la cour d'assises du Doubs le père de Tedy, victime à quatre ans d'un arrêt cardiaque suspect, l'un des trente empoisonnements imputé à l'ex-anesthésiste Frédéric Péchier.
Excuté par erreur : les assises de Dijon ont débuté lundi 24 novembre 2025 le procès en appel du meurtre de Houcine Hakkar, victime collatérale de la guerre des gangs qui avait sévi en 2020 à Besançon pour le contrôle de points de deal.
L'ex-compagnon de la femme de 32 ans abattue en bas de son domicile jeudi matin à Besançon a été mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire samedi 22 novembre 2025, a-t-on appris auprès du procureur de la République de la ville.
"J'ai failli arrêter la chirurgie", a témoigné vendredi 21 novembre 2025 devant la cour d'assises du Doubs un médecin très marqué par la mort d'une de ses patientes, l'un des trente empoisonnements que l'accusation impute à l'ex-anesthésiste Frédéric Péchier.
C'est la plus jeune des 30 victimes attribuées par l'accusation à l'ex-anesthésiste Frédéric Péchier: la cour d'assises du Doubs a commencé jeudi 20 novembre 2025 à se pencher sur le cas de Tedy, 4 ans, qui a subi un arrêt cardiaque en 2016 lors d'une banale opération des amygdales. L'enfant a survécu après deux jours de coma et cinq jours en réanimation.
Le Mouvement Franche-Comté a annoncé le 18 novembre 2025 par voie de communiqué, que le procureur de la République a décidé d’ouvrir une enquête à la suite d’une plainte déposée pour des faits de favoritisme concernant la statue de Jenny d’Héricourt installée place de la Révolution à Besançon depuis le 5 mars dernier.
"Je garde le silence" : après plus de deux mois de procès, l'anesthésiste de Besançon Frédéric Péchier, accusé de 30 empoisonnements dont 12 mortels, a décidé mardi 18 novembre 2025 de ne plus répondre aux questions, lors de son treizième interrogatoire.
Le 5 novembre dernier, le tribunal correctionnel avait prononcé la relaxe de l’ancien maire Jean-Louis Fousseret et Alexandra Cordier pour prises illégales d’intérêt et détournement de fonds publics. Le parquet avait aussitôt déposé une demande d’appel du jugement le 7 novembre 2025. Représentée par Anne Vignot, la Ville de Besançon a suivi le parquet dans la demande d’appel.
"L'absence systématique" de Frédéric Péchier aux réunions organisées pour discuter des arrêts cardiaques suspects dans une clinique de Besançon où il travaillait était vendredi 14 novembre 2025 l'objet du douzième interrogatoire de l'accusé, jugé pour 30 empoisonnements, dont 12 mortels, par la cour d'assises du Doubs.
"Elle a pu se tromper" : le Dr Frédéric Péchier, jugé à Besançon pour avoir empoisonné 30 patients dont 12 sont morts, a fermement contesté lundi 10 noveùbre 2025 devant la cour le récit d'une patiente victime en 2015 d'un arrêt cardiaque au bloc, et qui a raconté qu'il était venu à son chevet juste avant son anesthésie.
Le parquet de Besançon a annoncé, ce vendredi 7 novembre, sa décision de faire appel du jugement ayant conduit à la relaxe de l’ancien maire de Besançon, Jean-Louis Fousseret, et de son ex-collaboratrice, Alexandra Cordier. Tous deux étaient poursuivis pour prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics dans une affaire datant de 2019.
Quatre braqueurs ont été condamnés jeudi à des peines de réclusion criminelle de 10 à 20 ans pour le vol à main armée de deux fourgons de convoyage de fonds à Avallon (Yonne) en 2015, l'un des plus importants du siècle.
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