En réduisant le nombre de sites rachetés, Bruxelles souhaite préserver une concurrence au sein des équipementiers automobiles. De ce fait, quatre sites en France sont dans l’attente de se faire racheter par un autre groupe. Parmi eux, Audincourt. 800 salariés sont aujourd’hui incertains quant à leur avenir et les syndicats sont à nouveau dans l’attente.
Des politiques réagissent...
Sophie Montel, députée française au Parlement Européen accuse Bruxelles : "il est plus que jamais nécessaire que la France reprenne toute sa souveraineté afin de défendre ses intérêts industriels, mis à mal par les technocrates de Bruxelles". Et d'ajouter "Cette affaire nous le prouve une fois encore : les causes sont européennes, et seuls les patriotes dont je suis proposent une vision cohérente et réaliste pour protéger nos industries."